134 446 tonnes d’appareils électro et de lampes usagées collectées
Un record absolu
collectées en 2024
Une hausse de 5,2 %
Volumes collectés (en tonnes) par catégorie :
Gros blanc (par exemple : machines à laver)
Réfrigérateurs et surgélateurs
Lampes
Autres (par ex. : GSM, fers à repasser, tablettes)
Détecteurs de fumée
Téléviseurs et écrans
Appareils professionnels
collectés en 2024
Une hausse de 7,7 %
Si l’on regarde le nombre d’appareils
par catégorie, cela se présente comme suit :
Gros blanc (par exemple : machines à laver)
Réfrigérateurs et surgélateurs
Lampes
Autres (par exemple : GSM, fers à repasser, tablettes)
Détecteurs de fumée
Téléviseurs et écrans
En 2024, 6 349 999 kg d’appareils mis au rebut ont bénéficié d’une seconde vie. Après une forte augmentation en 2023, cela représente une diminution de 6,1 %. Le réemploi permet une utilisation plus efficace de l’énergie et des matières premières, tout en créant des emplois dans l’économie sociale. De plus, les appareils réutilisés constituent une alternative de qualité et abordable pour les personnes aux revenus modestes.
BELGIUM - ELECTRO SOFIE
Plus de 2 500 tonnes d’appareils usagés ont trouvé un nouveau foyer grâce aux ressourceries et centres de réemploi, soit une hausse de 3,5 % par rapport à 2023.
En 2024, les partenaires de transport de Recupel liés par une charte (appelés chartistes) ont remis en circulation plus de 1 371 tonnes d’appareils électro, tant domestiques que professionnels. Les chartistes collectent les appareils pour le compte de Recupel, et certains d’entre eux organisent eux-mêmes leur réemploi.
Les membres de Recupel, producteurs et distributeurs d’appareils électriques et électroniques, ont donné une seconde vie à près de 2 500 tonnes d’appareils retournés ou usagés.
Année après année, le taux de recyclage (réemploi compris) continue à progresser. Par rapport à 2023, la hausse représente presque un point de pourcentage. En 2024, nos partenaires de traitement ont recyclé 85,1 % des appareils et des lampes collectées, soit plus de deux points de plus qu’en 2023 (82,3 %). En outre, 0,9 % des flux sont récupérés comme matière auxiliaire, utilisée dans d’autres processus, et 10,2 % sont incinérés avec récupération d’énergie.
Par catégorie :
Les recyparcs sont une véritable plaque tournante de l’économie circulaire. En 2024, la Belgique en comptait 546.
Les magasins qui vendent des appareils électriques et électroniques ont l’obligation légale de reprendre des appareils similaires apportés par leurs clients, en vue de leur recyclage. À cette fin, ils peuvent s’enregistrer comme point de collecte. En 2024, on recensait 12 049 points de collecte sur l’ensemble du territoire. Parmi eux, 2 735 magasins disposaient également d’un point de recyclage : un conteneur pratique pour y déposer les petits électros et les lampes usagées.
Les centres de réemploi réparent les appareils usagés si nécessaire et les préparent à la revente via un magasin Kringwinkel ou une ressourcerie. En 2024, Recupel collaborait avec 26 centres de réemploi membres de Kringwinkel (en Flandre) et 15 membres de Ressources (en Wallonie et à Bruxelles).
Les entreprises peuvent remettre leurs appareils usagés directement à l’un des chartistes de Recupel pour traitement approprié. Le réseau de Recupel compte 97 chartistes, dont 80 transporteurs et 17 opérateurs de traitement.
L’Institut de recherche HIVA, rattaché à la KU Leuven, a cartographié la chaîne de valeur de Recupel. Au total, il a identifié 1 734 équivalents temps plein (ETP). La majorité de ces travailleurs sont actifs dans la collecte et le recyclage. Notre chaîne de valeur représente plus de 1 000 emplois dans l’économie sociale, soit 61 % du total. La plupart des personnes éloignées du marché du travail sont employée dans la réparation et le réemploi, tandis qu’un tiers d’entre elles travaille dans les activités de recyclage.
Dans son ensemble, notre chaîne de valeur emploie plus de 1 000 personnes dans l’économie sociale, ce qui représente une part de 61 %. La plupart des personnes n’ayant pas accès au marché du travail traditionnel sont actives dans la réparation et le réemploi. Au niveau du recyclage aussi, un tiers des collaborateurs sont issus de l’économie sociale.


